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J’ai perdu mes amis ; l’heure est venue de chercher ceux que j’ai perdus ! » —
J’ai perdu mes amis ; l’heure est venue de chercher ceux que j’ai perdus ! » —


En prononçant ces mots, Zarathoustra se leva en sursaut, non comme quelqu’un qui est angoissé par la peur, mais plutôt comme un visionnaire et un barde dont s’empare l’Esprit. Etonnés, son aigle et son serpent regardèrent de son côté : car, semblable à l’aurore, un bonheur prochain reposait sur son visage.
En prononçant ces mots, Zarathoustra se leva en sursaut, non comme quelqu’un qui est angoissé par la peur, mais plutôt comme un visionnaire et un barde dont s’empare l’Esprit. Étonnés, son aigle et son serpent regardèrent de son côté : car, semblable à l’aurore, un bonheur prochain reposait sur son visage.


Que m’est-il donc arrivé, ô mes animaux ? — dit Zarathoustra. Ne suis-je pas transformé ! La félicité n’est-elle pas venue pour moi comme une tempête ?
Que m’est-il donc arrivé, ô mes animaux ? — dit Zarathoustra. Ne suis-je pas transformé ! La félicité n’est-elle pas venue pour moi comme une tempête ?
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Je puis redescendre auprès de mes amis et aussi auprès de mes ennemis ! Zarathoustra peut de nouveau parler et répandre et faire du bien à ses bien-aimés !
Je puis redescendre auprès de mes amis et aussi auprès de mes ennemis ! Zarathoustra peut de nouveau parler et répandre et faire du bien à ses bien-aimés !

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