« Page:Wagner - Une capitulation, Leduc.djvu/28 » : différence entre les versions

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 <small>Offenbach, sans lâcher son trombone, surgit à moitié du trou du souffleur.</small>
-{{sc|Le Chœur}}. — ''Trahison !'' Les Prussiens ont réussi à pénétrer secrètement. ''''Aux armes "'' canonnons-les !
+{{sc|Le Chœur}}. — ''Trahison !'' Les Prussiens ont réussi à pénétrer secrètement. <small>''''Aux armes "''</small> canonnons-les !
 <small>Le tumulte grandit sur la scène. La chasse aux rats des Turcos dégénère en contredanse</small>
-{{sc|Flourens}}. — Qu’y a-t-il ? Les Prussiens ! Trahison ! Mégy, nous sommes
+{{sc|Flourens}}. — Qu’y a-t-il ? Les Prussiens ! Trahison ! Mégy, nous sommes finis !
-finis !
 {{sc|Gambetta}}, <small>de même que précédemment</small>. — Sauvez la République ! Tout est perdu !
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 <small>La canonnade continue en s’affaiblissant jusqu’au moment où la grosse caisse de l’orchestre la remplace.</small>
-::Oh ! que c’est donc mélodieu et agréable !
+::Oh ! que c’est donc mélodieux et agréable !
 ::Et en même temps commode pour les pieds
 ::Krak ! Krak ! Krakerakrak !