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{{tiret2|as|sommé}}, rougissant aux larmes et n’osant plus prononcer un mot. |
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prononcer un mot. |
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— Mon Dieu ! fit-il enfin, qui eût pu se douter... ? Mais aussi... |
— Mon Dieu ! fit-il enfin, qui eût pu se douter... ? Mais aussi... aussi... cela peut arriver à tout le monde. Foma, je t’assure que c’est un très honnête homme, et très lettré, Foma... tu verras ! |
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aussi... cela peut arriver à tout le monde. Foma, je t’assure que |
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c’est un très honnête homme, et très lettré, Foma... tu verras ! |
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— Je vois ! je vois ! répétait Foma en se tordant de rire, très |
— Je vois ! je vois ! répétait Foma en se tordant de rire, très lettré ! tout à fait lettré ! |
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lettré ! tout à fait lettré ! |
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— Et comme il parle sur les chemins de fer ! fit à mi-voix le |
— Et comme il parle sur les chemins de fer ! fit à mi-voix le perfide Éjévikine. |
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perfide Éjévikine. |
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— Foma !... s’écria mon oncle. |
— Foma !... s’écria mon oncle. |
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Mais un rire général couvrit ses paroles. Foma se tordait et... |
Mais un rire général couvrit ses paroles. Foma se tordait et... mon oncle fit tout bonnement comme les autres. |
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mon oncle fit tout bonnement comme les autres. |
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— Eh bien, quoi ! — reprit-il. — Tu es généreux, Foma ; tu as une |
— Eh bien, quoi ! — reprit-il. — Tu es généreux, Foma ; tu as une grande âme ; tu as fait mon bonheur ; tu pardonneras aussi à Korovkine ! |
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grande âme ; tu as fait mon bonheur ; tu pardonneras aussi à |
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Korovkine ! |
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Seule, Nastenka ne riait pas. Elle couvait son fiancé d’un regard |
Seule, Nastenka ne riait pas. Elle couvait son fiancé d’un regard plein d’amour qui disait clairement : |
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plein d’amour qui disait clairement : |
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— Que tu es donc charmant et bon ! et quel noble cœur tu es ! et |
— Que tu es donc charmant et bon ! et quel noble cœur tu es ! et que je |
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que je |
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t’aime ! |
t’aime ! |
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