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nier, contenant l’audition de vingt-cinq tesmoins, qui sont le

père, la sœur, l’oncle et la tante de ladite Damoiselle Perier,

à ladite Damoiselle Perier, sa sœur, que l’œil de ladite Marguerite Perier sa fille est fort mal, et qu’il ne faut pas manquer de faire l’opération au Printemps. Autres certificats du

qu’elle est si parfaitement guérie, qu’ils sont obligez de confesser que cette guerison n’a pu estre faite que par une voye

i4- Octobre tendante à ce que lesdites informations luy fussent mises es mains, pour prendre telles conclusions qu’il aviseroit. Nostre ordonnance du mesme jour portant que lesdites informations seroient communiquées audit Promoteur. Autre ordonnance rendue par nous le 16. dudit mois sur les conclusions dudit Promoteur, portant qu’attendu le long-temps qu’il y a que ladite information est faite, ladite Marguerite Perier seroit de nouveau veuë et visitée en nostre présence par les sieurs Menard et le Large, Chirurgiens nommez d’Office. Nostre procès verbal du 17. dudit mois d’Octobre, contenant qu’en nostre présence Maistres Jean Menard et Jacques le Large Maistres Chirurgiens à Paris, après serment par eux fait, ont veu et visité ladite Damoiselle Marguerite Perier dans la maison de Port-royal, en plein jour et autant de temps qu’ils ont voulu, tant par l’œil, le nez, que la bouche et palais, qu’ils ont trouvez en leur naturel sans apparence d’y avoir jamais eu