« Page:Balzac - Une rue de Paris et son habitant, 1845.djvu/25 » : différence entre les versions
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— Madame, monsieur est bien mal, vous l’avez laissé trop |
— Madame, monsieur est bien mal, vous l’avez laissé trop dîner… |
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— Que voulez-vous ! il était à un bout et moi à un autre de la table, et il est revenu, comme toujours, sans moi… Pauvre petit homme ! J’y vais, après m’être |
— Que voulez-vous ! il était à un bout et moi à un autre de la table, et il est revenu, comme toujours, sans moi… Pauvre petit homme ! J’y vais, après m’être |
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déshabillée. |
déshabillée. |
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{{Mme}} Adolphe retourne au pavillon pour proposer un vomitif au professeur en le grondant de ne pas avoir ramené madame. |
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— Puisque vous alliez en fiacre, vous pouviez bien m’épargner la dépense de celui que madame a pris pour revenir ; et, pour me faire payer une heure, vous avez |
— Puisque vous alliez en fiacre, vous pouviez bien m’épargner la dépense de celui que madame a pris pour revenir ; et, pour me faire payer une heure, vous avez |
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donc arrêté quelque part ? |
donc arrêté quelque part ? |
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— À l’Institut. |
— À l’Institut. |
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— À l’Institut ? Où donc êtes-vous monté en voiture ? |
— À l’Institut ? Où donc êtes-vous monté en voiture ? |
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— Ma chère enfant, je ne sais pas…, dit le professeur tout penaud. |
— Ma chère enfant, je ne sais pas…, dit le professeur tout penaud. |