« Bretons de Lettres » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Ô
mAucun résumé des modifications
Ligne 199 :
à Dinan, Bretons tout à fait.
 
C'est par un mariage avec la fille de Fran-François Estienne, acquéreur de cette terre et qui
çois Estienne, acquéreur de cette terre et qui
en prit le nom, que Michel Leconte de Préval
devint propriétaire de la petite terre de l'Isle.
Ligne 824 ⟶ 823 :
Auguste Robinot.
 
Cet « oubli » contrariait vivement M. Le-Leconte de l'Isle. « Il n'eût pas manqué d'y rencontrer » (chez M. Robinot) « des hommes de
conte de l'Isle. « Il n'eût pas manqué d'y rencontrer » (chez M. Robinot) « des hommes de
robe, dont la société ne pouvait manquer de
lui être utile et la connaissance avantageuse. »
Ligne 1 151 ⟶ 1 149 :
</center>
 
est datée, par erreur sans doute, du 13 novemvembrenovembre. Quant à l'extrait de naissance qui
manquait encore à cette date, il ne figure pas
au de ssier de Leconte de Lisle. Fut-il présenté, je ne le crois pas, car celui de tous les
Ligne 1 278 ⟶ 1 276 :
:Des avocats menteurs
:Et retors et rhéteurs
:Défendent les voleurs<ref>« Les notaires du tablier de Rennes, comme ils ont l'es-esprit gaillard et esveillé... » ''Contes d'Eutrapel'', XIV, NOËL DU
prit gaillard et esveillé... » ''Contes d'Eutrapel'', XIV, NOËL DU
FAIL.</ref>.
 
Ligne 1 962 ⟶ 1 959 :
:Je ne t'oublierais pas au bout de l'univers !
 
Il est vrai que le souvenir du Canal est asassocié par Boulay-Paty aux souvenirs chers « de
socié par Boulay-Paty aux souvenirs chers « de
sa mère et de sa s?ur...
 
Ligne 2 354 ⟶ 2 350 :
inassociables de leur nature ; et ce cacochyme
maladif allongé sur la pelouse, tout occupé de
se remémorer le tissu de ses anciennes puérilités ou d'ajouter de nouveaux rêves à ses es-
pérancesrêves à ses espérances invétérées : cette bonne vieille, revenue des joies vulgaires, causant tout bas
dans un coin avec Dieu ; et cette petite déité
d'argile fort satisfaite de sa draperie, de ses
Ligne 3 010 ⟶ 3 006 :
 
blesse Voici ce qu'en disait le baron Régis de
Trobriand dans son roman, rarissime aujourd'hui, ''Les Gentilshommes de l'Ouest'' : « 0Ô mon
joyeux café de Bretagne, ingrat qui pourrait
oublier les soirées de fête arrosées de vin vieux
Ligne 4 677 ⟶ 4 673 :
Dans une lettre de mai 1839, quand il veut
louer un nouvel ami, il dit de lui : « C'est
un charmant garçon, doux, religieux et ins-instruit. »
truit. »
 
Le théâtre, je le pensais bien, avait pris