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{{ChapitreNav
| [[Auteur:Anna de Noailles|Anna de Noailles]]
| [[Poème de l’amour|Poème de
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| [[Poème de l’amour/25|XXV]]
| [[Poème de l’amour/27|XXVII]]
}}
==[[Page:Noailles - Poème de l’amour, 1924.djvu/37]]==
<poem>
Matin,
À
Pour aborder la vie accommodante ou torse,
Rendez mon cœur pesant, calme et demi-fermé.
Les humains au réveil ont besoin
Mais mon esprit aigu
Je serais tel
De laisser quelquefois se reposer mon zèle.
Que mon être, cherchant ses frères, les dépasse,
Et que je suis toujours montante dans
Comme le cri du coq et
==[[Page:Noailles - Poème de l’amour, 1924.djvu/38]]==
<poem>
Mais faites
Je demeure sans vœux, sans voix et sans envie.
Qui, marchant le premier, sans prudence et sans peur,
Loin des chemins tracés, des labours, des maisons,
Semble un dieu délaissé, debout sur
</poem>
▲</div>
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