« La Coupe (Sully Prudhomme) » : différence entre les versions
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{{TitrePoeme|[[Les Vaines Tendresses|Les Vaines tendresses]]|Sully Prudhomme|La Coupe}}
==[[Page:Sully Prudhomme - Œuvres, Poésies 1872-1878.djvu/67]]==
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Un vin dont la clarté soit digne du cristal.
Enfin la coupe
Attend, vide toujours, bien que large et profonde,
Un cru dont la noblesse à la sienne réponde :
On tremble
Plus le vase est grossier de forme et de matière,
Mieux il trouve à combler sa contenance entière,
Aux plus beaux seulement il
Et qui rêve pour soi la pureté suprême
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