« Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 7.djvu/160 » : différence entre les versions
m Phe: split |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Puis s’interrompant pour s’adresser à sa femme, qui accourait au-devant de lui, ainsi que Martine : — Allons, chères peureuses, rassurez-vous ! les nouvelles sont, je crois, à la paix. |
{{tiret2|eux-|mêmes}}… — Puis s’interrompant pour s’adresser à sa femme, qui accourait au-devant de lui, ainsi que Martine : — Allons, chères peureuses, rassurez-vous ! les nouvelles sont, je crois, à la paix. |
||
— Il serait vrai ! — s’écrièrent les deux femmes en joignant les mains, — il n’y aura pas de guerre ? — Et courant se jeter au cou de Colombaïk, Martine s’écria : — Tu entends ton père ? il n’y aura pas de guerre ! quel bonheur, tout est fini ! |
— Il serait vrai ! — s’écrièrent les deux femmes en joignant les mains, — il n’y aura pas de guerre ? — Et courant se jeter au cou de Colombaïk, Martine s’écria : — Tu entends ton père ? il n’y aura pas de guerre ! quel bonheur, tout est fini ! |