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échapper sans doute aux pensées dont il était obsédé, Wilhelm IX s’écria joyeusement : — Au diable les juifs et vive l’amour ! un beau baiser, ma charmante ; notre entretien sur cette infernale engeance me laisse un arrière-goût de soufre et de bitume comme si j’avais tâté de la cuisine de Satan ! |
échapper sans doute aux pensées dont il était obsédé, Wilhelm IX s’écria joyeusement : — Au diable les juifs et vive l’amour ! un beau baiser, ma charmante ; notre entretien sur cette infernale engeance me laisse un arrière-goût de soufre et de bitume comme si j’avais tâté de la cuisine de Satan ! À moi l’ambroisie de tes baisers, mon amoureuse ! |
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Quelques cris lointains et une sorte de tumulte qui s’éleva parmi les hommes d’armes du duc d’Aquitaine interrompirent sa conversation avec Azenor ; il tourna la tête et vit venir à lui Gauthier-sans-Avoir tenant de la main dont il ne guidait pas son cheval une petite amphore de vermeil. — Quel est ce tapage ? — dit Wilhelm IX en prenant l’amphore apportée par l’aventurier gascon et la remettant à Azenor ; — quels sont ces cris ? |
Quelques cris lointains et une sorte de tumulte qui s’éleva parmi les hommes d’armes du duc d’Aquitaine interrompirent sa conversation avec Azenor ; il tourna la tête et vit venir à lui Gauthier-sans-Avoir tenant de la main dont il ne guidait pas son cheval une petite amphore de vermeil. — Quel est ce tapage ? — dit Wilhelm IX en prenant l’amphore apportée par l’aventurier gascon et la remettant à Azenor ; — quels sont ces cris ? |