« Page:Barbey d’Aurevilly - Les Quarante Médaillons de l’Académie.djvu/112 » : différence entre les versions

@@ Contenu (par transclusion) : / Contenu (par transclusion) : @@
@@ Ligne 1 : / Ligne 1 : @@
-H. GUIZOT
+[page 104 M. GUIZOT]
-d’une cime. C’est même la hauteur d’où il
-fombe qui en fait vraiment le mépris !
+d'une cime. C'est même la hauteur d'où il
-XXXV
+tombe qui en fait vraiment le mépris !
-M. GUIZOT
-Comme M. Thiers, M. Guizot est un échan-
-tillon des grands hommes que, sous Louis-
+<center>
-Philippe, on nous fagotait! La Postérité les
+== XXXV. — M. GUIZOT ==
+</center>
+Comme M. Thiers, M. Guizot est un échantillon des grands hommes que, sous Louis-Philippe, on nous fagotait ! La Postérité les
 déshabillera de leur grandeur, et ce terrible
 valet de chambre aura la main dure, je les
-en avertis! M. Guizot, à T Académie, repré-
+en avertis ! M. Guizot, à l'Académie, représente et incarne la fusion, inventée par lui,
-sente et incarne la fusion, inventée par lui,
 le dernier concubinage de ce grand Concubi-
-A. *’ - ’ -.- _„„, — ib < t <i ■ » ■"