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RONDEAUX

s8 RONDEAUX XXXI l MESStNOT

~EST~ par vous que tant fort soupire,(~)/
Tousjours m’enpire;
A vostre advis faictes vous bien,
Que tant plus je vous veulx de bien,
 Et sur ma foy vous m’estes pire?
A ma dame, si grief martire
Ame ne tire
Que moy, don ne puis mès en rien
C’est par vous [que tant fort soupire.]
 Vostre beaulté vint de grant tire
A mon œil dire,
Qui fist mon cueur devenir sien
Il le voulut, si 7 meurt, et s bien
Je ne lui puis aider ne nuyre
i5 5 C’est par vous [que tant fort soupire.]

XXX!. – t. Ce t’oM~MM se trouve aussi dans les t):M./r. t7tg, fo[. t2~. vo, et 2.}.3l~. ~): la B:& )M~; il a été !m~n’Me dans les ~.MHe~M (éd. i53cj) et publié dans Charles d’Orléans, H, . 2. Jt~f. 2~.314 Car. 3. A~s.r. lytg pour. .).. /t-. t~fQ Tant fort. 5. /’)-. 9223 Car. 6. 3~. /r. lytcj Quil; MM. /2~.3i4, Lunettes et C/i. d’O. Que. – 7. Ch. d’O. sil. – 8. ~)’. t~ic) sy siet il. q. C/ <<’0. ou.