« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Tympan » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tuile|Tuile]]</center>
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Si, à la place des corbeaux D, nous plaçons deux goussets de pierre E
se contre-butant en F, il est évident que le linteau est complétementcomplètement
soulagé, que sa hauteur entre lits peut être singulièrement
réduite au profit du tympan. C'est en raisonnant ainsi, que l'architecte
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<span id="footnote1">[[#note1|1]] : Peu d'architectes du moyen âge en France ont gravé leurs noms sur les monuments
qu'ils élevaient, coutrairementcontrairement à l'habitude de leurs confrères italiens. Cette indifférence,
ou cet excès de modestie leur a été reproché par un célèbre critique comme un
aveu d'infériorité. Cependant il semblerait que c'est l'œuvre qui doit être jugée, et que