« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Tribune » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Trésor|Trésor]]</center>
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réservées à quelques fidèles privilégiés, à de grands personnages, aux
familles des fondateurs, etc. On monte à ces loges, relevées au-dessus
du pavé, par des escaliers donnant, soit dans l'église, soit dans des bâtiments
voisins, quand elles sont privées, c'est-à-dire réservées à certains
personnages. Les tribunes étaient encore un moyen d'augmenter
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qui reçoivent les pieds des liens O. Les assemblages des arbalétriers
sont maintenus dans l'entrait par des étriers boulonnés et par les deux
contre-fiches K, N. Une triple arcalurearcature en menuiserie, qui paraît suspendue,
masque les poinçons, les liens, et contribue encore à donner du
roide à tout l'ensemble. Ces arcatures retombant sur des culs-de-lampe
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qui consiste en un arc en tiers-point avec voûte d'arête franchissant la largeur du vaisseau.
 
<span id="footnote12">[[#note12|12]] : La portée de la tribuuetribune de l'église Saint-Andoche de Saulieu n'est que de 5<sup>m</sup>,65;
celle de la cathédrale d'Amiens est de 14 mètres.