« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Trabes » : différence entre les versions

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{{TextQuality|100%}}<div class=prose>
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 9, Tourelle|Tourelle]]</center>
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[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Chœur|Chœur]]). Un crucifix était habituellement fixé au milieu de la trabes.
Ces poutres reposaient parfois sur quatre colonnes entourant l'autel.
Elles étaient sculptées et peintes, ou revêtues de pièces d'orfévrerieorfèvrerie de
cuivre ou d'argent<span id="note1"></span>[[#footnote1|<sup>1</sup>]], surmontées d'arcatures entre lesquelles brûlaient
des lampes. Quelquefois des figures les décoraient<span id="note2"></span>[[#footnote2|<sup>2</sup>]]. Il n'existe plus
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grecque, et nous ne saurions dire pourquoi ces poutres porte-lumières
ont été supprimées en France. Les églises abbatiales de Saint-Denis,
de Cluny, possédaient des trabes magnifiquement ornées d'orfévreriesorfèvreries
et de chandeliers de vermeil, qui étaient posées entre les stalles et le
sanctuaire.