« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Latrines » : différence entre les versions
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Larmier|Larmier]]</center>
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Voici (1) un de ces cabinets donnant sur un palier A en communication
avec les salles et l'escalier. B est la courtine, C la tour. De B en D est
construit un mur en encorbellement masquant le
urinoir et en G une fenêtre. Le tracé H donne l'aspect du cabinet à l'extérieur, et le tracé I sa coupe sur AX. Là il n'y avait pas à craindre l'odeur,
puisque les matières tombaient dans un précipice.
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La fig. 2 nous présente un cabinet qui existe encore intact dans le
château de Landsperg (Bas-Rhin)<span id="note2"></span>[[#footnote2|<sup>2</sup>]], et qui jette, de même que ceux des
tours de Coucy, les matières à l'extérieur. Le
plan, la figure B la coupe, et la figure C la vue de l'encorbellement du
traits qui pouvaient être lancés du dehors, on observera que le constructeur a eu la précaution de placer une dalle de champ descendant en
contre-bas des deux corbeaux latéraux, afin de masquer
les jambes de la personne assise sur le
trouée. La nuit, il était d'usage de se faire accompagner, lorsqu'on se
rendait au cabinet, par un serviteur tenant un flambeau. Cette habitude
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il est également question de personnages qui se font accompagner par des
serviteurs. Ceci explique pourquoi, dans les latrines du moyen âge, on
laissait une place large devant les
assez long entre le
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