« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Construction -- Militaires » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m correction typo
Ligne 1 :
{{TextQuality|100%}}<div class=prose>
{| width=100% border="0"
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 4, Construction -- Civiles|Construction -- Civiles]]</center>
Ligne 135 :
une grande négligence ou une triste économie dans la plupart des
constructions
reiigieusesreligieuses. Évidemment les seigneurs laïques, lorsqu'ils faisaient
bâtir des forteresses, avaient conservé la méthode romaine de
réquisitions et d'approvisionnements que les abbés ou les évêques ne
Ligne 401 :
intérieure. Elle est construite suivant le système expliqué dans notre
fig. 142(G), c'est-à-dire que ses deux étages au-dessus du sol extérieur
se composent, du côté de 1l'attaque, de niches comprises entre des contre-forts
intérieurs, niches au fond desquelles sont percées des meurtrières
qui battent les dehors. D'un étage à l'autre, ces niches se chevauchent
Ligne 536 :
il faut opposer à ce nouveau moyen de destruction des masses énormes
de maçonnerie ou des terrassements. Le canon, en bouleversant ces
parapets couverts et ces mâchicoulis si bien disposés, en écrétantécrêtant les
remparts, en les sapant à la base, ne permet plus l'emploi de ces combinaisons
ingénieuses faites pour résister à l'attaque rapprochée. Et