« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Château » : différence entre les versions

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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Charpente|Charpente]]</center>

On voit encore, d'ailleurs, les traces des deux fossés de contrevallation et de circonvallation

creusés par le roi. Ces travaux de blocus ont les plus grands rapports avec

également ceux ordonnés par Titus lors du siége de Jérusalem.

 

(Guill. Guiart, vers 4340.)

 

pour enfiler ce pont, et le chat garantissant les mineurs français contre les projectiles

lancés du sommet de la muraille, les assiégés sont obligés de créneler la muraille

puits, caves, moulins même; le seigneur en confiait la garde à un capitaine ayant un

certain nombre d'hommes d'armes sous ses ordres. Il en était de même pour la garde

comme de nos jours; la garnison d'un château n'était dès lors que la réunion de

plusieurs petites garnisons, comme l'ensemble des défenses n'était qu'une réunion

<span id="footnote123">[[#note123|123]] : Échelle de 0,001 mill. pour mètre.

 

il n'y avait qu'une seule salle occupant toute la longueur du bâtiment F, et la cheminée

qui la chauffait était pratiquée dans le pignon de gauche à l'ouest. (Voir la

<span id="footnote134">[[#note134|134]] : <i>Les plus excellens bastimens de France</i>, liv. II.

 

remontaient à la fin du XV^e siècle. Mais, pendant le XVI^e siècle, les bâtiments, surtout

à l'intérieur, furent en grande partie décorés avec un grand luxe d'architecture. Plus