« « Autant certes la femme gagne » » : différence entre les versions

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{{titrePoeme|Hombres|Paul Verlaine|
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{{titrePoeme|[[Hombres]]|Paul Verlaine|Autant certes la femme}}
<div style="text-align:center;">[[Hombres]]</div>
 
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Autant certes la femme gagne
À faire l'amourl’amour en chemise,
Autant alors cette compagne
Est-elle seulement de mise
 
À la condition expresse
D'unD’un voile, court, délinéant
Cuisse et mollet, téton et fesse
Et leur truc un peu trop géant.
 
Ne s'écartants’écartant de sorte nette,
Qu'enQu’en faveur du con, seul divin,
Pour le coup et pour la minette,
Et tout le reste, en elle est vain
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Autant le jeune homme profite
Dans l'intérêtl’intérêt de sa beauté,
Prêtre d'Éros ou néophyte
D'aimerD’aimer en toute nudité.
 
Admirons cette chair splendide
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Sur toute chair, la féminine
Et la bestiale - vrai beau !-
Cette grâce qui fascine
D'êtreD’être multiple sous la peau
 
Jeu des muscles et du squelette,
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Ses éléments, en marbre bleu !
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