« L’Odyssée/Traduction Séguier/6 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/123]]==
 
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Où, déesse elle-même en stature, en attraits,
Dormait Nausicaa, du roi la fille aimée.
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/124]]==
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Deux serves, que la main des Grâces embellit,
Gardaient la riche porte exactement fermée.
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Bientôt de ses rayons l'Aube frappa la belle
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/125]]==
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Nausicaa, qu'émeut son rêve saisissant.
De sa pièce elle court chez son père et sa mère
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Une outre en peau de chèvre, et, l'infante montée,
Lui passe un flacon d'or plein d'huile décantée,
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/126]]==
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Pour qu'avec son collège elle s'en frotte au bain.
Alors Nausicaa prend les rênes luisantes,
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Telle la tendre vierge effaçait ses compagnes.
Mais sitôt qu'il fallut rassembler les mulets,
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/127]]==
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Plier les vêtements, regagner le palais,
L'attentive Pallas voulut qu'en ces campagnes
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Donc seule elle demeure : Ulysse délibère
S'il doit tomber aux pieds de la vierge aux beaux yeux,
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/128]]==
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Ou la prier de loin, en un discours mielleux,
De lui montrer les murs, d'habiller sa misère.
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Pour croître mes ennuis me jette en cette zone.
C'en est fait, je m'attends à d'autres coups du Sort.
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/129]]==
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Mais toi, reine, sers-moi, car c'est toi que d'abord
J'implorai dans mes maux ; je ne connais personne
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Dans nos cantons ; les dieux aiment trop ce séjour.
Nous vivons aux confins de la mer naufrageuse,
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/130]]==
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Et nul peuple en ces bords n'a jeté son filet.
Cet homme est d'aventure échoué sur nos côtes :
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De même qu'un orfèvre, instruit dans son métier
Par les soins de Pallas, l'entremise d'Hépheste,
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/131]]==
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Unit l'or à l'argent, parfait une œuvre d'art,
De même elle embellit ses regards et son geste.
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Que divise en deux paris un immense bassin,
Où les nefs, en dépit d'une passe étranglée,
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/132]]==
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Trouvent, après l'orage, un refuge constant ;
Où, devant le beau temple érigé pour Neptune,
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Fais halte dans ce lieu, jusqu'à ce que j'arrive
Au centre de la ville, au paternel abri.
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/133]]==
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Lorsque lu me croiras en son enceinte auguste,
Franchis le mur Phéaque et demande aussitôt
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Quand m'accablait Neptune, ébranleur de la terre.
Fais-moi trouver tantôt miséricorde et paix. »
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/134]]==
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Il dit ; Pallas-Minerve entendit sa prière,
Mais ne se montra point, redoutant le courroux
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Veut sur le noble Ulysse accumuler ses coups.
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==[[Page:Homère - Odyssée, traduction Séguier, Didot, 1896.djvu/135]]==