« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Balustrade » : différence entre les versions
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| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Bain de Mortier|Bain de Mortier]]</center>
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chéneaux et des galeries de circulation à tous les étages. Les balustrades
exécutées pendant cette période présentent une extrême variété de formes
et de constructions. La nature de la pierre influe beaucoup sur leur
et faciles à tailler, les balustrades sont légères et très-ajourées; là où la
pierre est tendre, au
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ainsi que fut couronnée la corniche supérieure du chœur de la cathédrale
de Troyes<span id="note4"></span>[[#footnote4|<sup>4</sup>]]. Cet exemple de balustrade
crénelée ne manque pas d'originalité
ne le donnons d'ailleurs que comme une
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XVI<sup>e</sup>, on fit souvent aussi des balustrades aveugles qui n'étaient, sous les
appuis des fenêtres, que des bandeaux larges formant une riche décoration.
Telles étaient
premier étage de l'hôtel la Trémoille à Paris (28), balustrades qui sont
toutes variées soit comme dessin, soit comme division; car il n'est pas rare
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<span id="footnote6">[[#note6|6]] : Voir l'hôtel de Jacques Cœur à Bourges, sur les balustrades duquel on a sculpté des cœurs, des coquilles, et cette devise «A VAILLANS RIENS IMPOSSIBLE.»
<span id="footnote7">[[#note7|7]] : Cette
<span id="footnote8">[[#note8|8]] : Voy. <i>L'Église Saint-Eustache à Paris</i>, par Victor Calliat. Paris, 1850.
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