« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Trait » : différence entre les versions

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projection horizontale de cette archivolte a été tracée en <i>n</i> et <i>s</i>, débordant
vers la nef, en <i>n'</i>, le nu du tympan de l'archivolte inférieure pour
former saillie sur les chapiteaux du pilastre d'angle (voy. <sc>[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale</sc>|Cathédrale]],
fig. 4). Quant à l'archivolte interne <i>s</i>, elle sert de formeret à la voûte de
la galerie. Pour mieux ouvrir la claire-voie, les petites archivoltes formant
arcature (voy. <sc>[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale</sc>|Cathédrale]], fig. 4) retombent en <i>t</i> sur le pilastre <i>i</i>,
et non sur une colonnette. Le nu extérieur du mur au-dessus de la
galerie étant en <i>u</i>, porté sur le formeret <i>s</i>, le contre-fort extérieur est
en XX'<i>r</i> (voy. <sc>[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 2, Cathédrale</sc>|Cathédrale]], fig. 2).
 
Les colonnettes <i>e</i>, <i>f</i>, continuent à s'élever et reçoivent l'arc-doubleau <i>e'</i>
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les architectes en étaient arrivés à donner exactement à la section horizontale
des piles la section des arcs; on peut se rendre compte de ce
fait en examinant les figures 15, 16 et 17 de l'article <sc>[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Pilier</sc> |Pilier ]]. Ces méthodes
les amenaient à ne plus concevoir une construction que par des
tracés de projections horizontales superposées, et c'était naturellement