« Nobiliaire et armorial de Bretagne/Q » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/6]]==
 
Quatrebarbes (ramage de Montmorillon, en Poitou), s{{e|r}} de Woussy, — de Jallais, — de la Rongère, par. de Saint-Sulpice, au Maine, — de Murs-sur-Loire, — de la Jonchère, — de la Mancelière, — de Montfouché, — de Bouillé, — de la Rous?ardière — de Chasnay, — d’Argenton, — de Fontenailles, — de la Marquisière, par. de Varades, — de Juigné et de la Série, par. de Saint-Herblon. Maint, à l’intend. de Bretagne en 1701, cinq gôn.
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Tome III. 1
 
Quatrevaux (de), s{{e|r}} dudit lieu, par. de Plaiatel, év. de Saiat-Brieuc.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/7]]==
r}} dudit lieu, par. de Plaiatel, év. de Saiat-Brieuc.
D’azur à l’aigle éployée d’argent, couronnée d’or (Arm. de l’Ars.).
Fondu dans Budes du Tertre-Jouan.
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D’argent au sanglier de sable. (Sceau 1306).
Alain, auteur d’un missel de Léon, imprimé en 1326.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/8]]==
 
Quéhéon (de) (ramage du Guiny), s{{e|r}} de Rochelande, — de la Cochais, par. de Bédée, — de la Domenchère, par. de Guer.
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La branche aînée fondue vers 1360 dans les Liniac, qui ont transmis la seigneurie de Quélen aux Couppu, puis aux Raguenel et aux du Chastel. Elle appartenait en 1536 à Julien d’Avaugour, s{{e|r}} de Saint-Laurent et en 1066 aux Lantivy du Coscro, fondus dans Rougè, puis Lorraine-Elbeuf.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/9]]==
 
La branche de la Villebouquay fondue dans Bunin, la branche de la Vauguyon, substituée en 1670 aux nom et armes d’Estuer deCaussade, a produit un maréchal de camp en 1652, deux lieutenants-généraux et deux chevaliers des ordres du Roi de 1753 à 1816, et s’est éteinte en 1837.
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Quélen (de), en français Houx (nu), voi/ez Houx (du).
 
Quélenec (du) (ramage d’Avaugour), baron dudit lieu, et s{{e|r}} du Collédo, par. du Vieuxbourg-de-Quinliu, — vicomte du Faou, par. de Rosnoen, — baron de Tontl’Abbé,
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/10]]==
par. de ce nom, — de Rostrenen, par. de ce nom, — s{{e|r}} de la RocheHelgomarc’h, par. de Saint-Thoix, — de Bienassis, par. d’Erquy, —de Pralanroux, par. de Penrnrs, — de Coetfno, par. de Pluguffan, — du Rible, par. de Plomodiern,
 
— de Kerellon, — de Kerpilly, — de Saint-Quérec, par. d’Erquy, — du Hilguy, par. de Plougastel-Saint-Germain, — de Kernévez el du Cosquer, par. de SaintGilles-Pligcau, — de Coëtanfao, par. de Séglien. — de Coatcoazer, par. de Lanmeur,
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Quélern ou Kerlern (de) voyez Gentil (le).
 
Qijélin (orig. de Paris), s{{e|r}} du Plessix.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/11]]==
orig. de Paris), s{{e|r}} du Plessix.
 
D’azur au chevron, accornp. de deux étoiles en chef et d’une pomme de pin en pointe, le tout d’or.
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La branche ainée a porté la vicomté de Quemper-Guézennec dans la maison de la RocheJagu, d’où elle est passée aux Péan, puis aux d’Acignè.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/12]]==
 
Quemper (de), s{{e|r}} de Keranroux, par. de Ploubezre, — châtelain de* Lanascol en 1647, par. de Plouzéfambre, — s{{e|r}} de la Garenne, — de la Lande et de Kerraenguy, par. de Ploumilliau, — de Belorient, par. de Trédaniel, — de Saint-Glen, par. de ce nom, — de Kergadiou, —marquis du Guérand, par. de Plouégat.
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Guillaume, archer de la compagnie d’Even Gharuel, dans une montre de 1356 ; kmaury, conseiller de la duchesse Anne en 1493, son président aux Grands-Jours, témoin à son traité de mariage avec Louis XII en 1499, et employé dans plusieurs ambassades, épouse 1° Clémence de Quénec’hquivilly ; 2° Marguerite de Penhoët.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/13]]==
 
Les s" de Kervcrn, paroisse de Rosnoôn, et de Gardalas, paroisse de Bothoa, déboutés à la réformation de 1671.
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Quenquis (du), en français Plessis, voyez Plessis (du).
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/14]]==
 
Quenquizou (du), S’ dudit lieu et de Kerprigent, par. de Plougasnou, — de Kernoter, par. de Plouézoc’h.
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Tome III. 2
 
Quetil (
Quetil (orig. de Normandie), s{{e|r}} du Farmento, — de Valdemare, — du Pont-Hébert,
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/15]]==
Quetil (orig. de Normandie), s{{e|r}} du Farmento, — de Valdemare, — du Pont-Hébert,
 
— de la Motte-Saint-Vast.
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Quilbignon (de), s{{e|r}} dudit lieu, par. de Saint-Pierre, — de Goëténez, de Penamprat, de Coscastel, de Penhoêt et de Pellinec, par. de Plouzané.
 
Réf. et montres de 1427 à 1534, dites par., év. de Léon.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/16]]==
de 1427 à 1534, dites par., év. de Léon.
Porte un croissant surmonté d’une molette.
Pierre, fait une donation à Saint-Yves de Brest en 1534.
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Fondu dans Cabournais, puis en 1600 Kerret.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/17]]==
 
Quilligujzjau (de), s{{e|r}} dudit lieu, par. de Plésidy, év de ïréguier.
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Quintin (de) (ramage do Penthièvre), s’dudit lieu, ville et château, év deSaint-Brieuc. D’argent au chef de gueules, qui est Avaugour, brisé d’un lambel à quatre pendants d’or (Sceau 1388).
 
Geoffroy,
Geoffroy, dit Botherel, sire de Quintin, croisé en 1248, rapporta de la Terre-Sainte, d’après la tradition, un morceau de la ceinture de la Vierge, précieusement conservé à l’église Notre-Dame de Quintin, et prit l’habit de cordelier au couvent de Dinan ; Jean, marié à Philippine de Dinan, tué au siège de la Roche-Derrien en 1347; Plèzou, dame de Quintin, épouse en 1400 Geoffroi duPerrier, d’où la seigneurie de Quintin, érigée en baronnie l’an 1451, est passée successivement aux Laval, et en 1521 aux la Trêmoille, qui la vendirent aux Gouyon-la-Moussaye, et ces derniers aux Durfort de la maison de Lorge, en Blaisois, en faveur desquels Quintin fut érigé en duché en 1691, continué sous le nom de Lorge en 1706, et possédé ensuite par les Choiseul.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/18]]==
Geoffroy, dit Botherel, sire de Quintin, croisé en 1248, rapporta de la Terre-Sainte, d’après la tradition, un morceau de la ceinture de la Vierge, précieusement conservé à l’église Notre-Dame de Quintin, et prit l’habit de cordelier au couvent de Dinan ; Jean, marié à Philippine de Dinan, tué au siège de la Roche-Derrien en 1347; Plèzou, dame de Quintin, épouse en 1400 Geoffroi duPerrier, d’où la seigneurie de Quintin, érigée en baronnie l’an 1451, est passée successivement aux Laval, et en 1521 aux la Trêmoille, qui la vendirent aux Gouyon-la-Moussaye, et ces derniers aux Durfort de la maison de Lorge, en Blaisois, en faveur desquels Quintin fut érigé en duché en 1691, continué sous le nom de Lorge en 1706, et possédé ensuite par les Choiseul.
 
Quintin, s{{e|r}} de Kerscao, de Penanrue, de Kerozac’h et de Coëtamour, par. de Ploujean,
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Georges, fourrier et maréchal des logis de la reine Anne en 1507.
Moderne : Penandreff.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/19]]==
 
Quistinic (de), s’dudit lieu, par. de Péaule, — de Bovrel, par. de Pluherlin, BrigDac, par. de Sérent, — de Rerien, par. de Sarzeau.