« Ainsi parlait Zarathoustra/Première partie/Le prologue de Zarathoustra » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Gaiffelet (discussion | contributions)
Gaiffelet (discussion | contributions)
Ligne 179 :
Voici, je suis un visionnaire de la foudre, une lourde goutte qui tombe de la nue : mais cette foudre s'appelle le ''Surhumain''.
 
===5.{{Option|Version audio|display:none;|[[Media:Ainsi_parlait_Zarathoustra,_prologue_5.ogg|Version audio]] [[Image:Speaker Icon.svg|20px]]}}===
===5.===
 
Quand Zarathoustra eut dit ces mots, il considéra de nouveau le peuple et se tut, puis il dit à son coeur : "Les voilà qui se mettent à rire ; ils ne me comprennent point, je ne suis pas la bouche qu'il faut à ces oreilles.
Ligne 240 :
 
Et les voilà qui me regardent et qui rient : et tandis qu'ils rient ils me haïssent encore. Il y a de la glace dans leur rire."
 
 
===6.===