« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Archivoltes » : différence entre les versions

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[[Image:Archivoltes.eglise.de.Loupiac..png|center]]
 
[[Image:Archivoltes.Puy.en.Velay.png|center]]
 
le Poitou et la Saintonge,
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église de Surgère, Charente
(28). Dans la Bourgogne,
 
[[Image:Archivoltes.eglise.de.Surgere.png|center]]
 
les rosaces, les
personnages symboliques;
portail de l'église d'Avallon,
Yonne (29). On voit par l'examen de ces exemples appartenant aux
 
[[Image:Archivoltes.eglise.Avallon.png|center]]
 
XIe et XIIe siècles, que quelle
que soit la richesse de la
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dans un claveau; ces figures sont comprises dans l'épannelage des
voussoirs; nous en donnons un exemple (30) tiré du portail sud de la
 
[[Image:Archivoltes.cathedrale.Amiens.png|center]]
 
cathédrale d'Amiens, XIIIe siècle; A indique la coupe des claveaux avant la
sculpture. De même, si l'archivolte se compose de moulures avec ou sans
ornements, la forme première du claveau se retrouve (31); porte latérale
de l'église Saint-Nazaire de Carcassonne, XIVe siècle.
 
[[Image:Archivoltes.eglise.Saint.Nazaire.Carcassonne.png|center]]
 
 
Au XVe siècle cette méthode change; les archivoltes des portails sont posées
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seulement les dais et supports des statuettes, et celles-ci sont accrochées
après coup au moyen d'un gond scellé dans le fond de la moulure (32);
 
[[Image:Archivoltes.eglise.Notre.Dame.de.Semur.png|center]]
 
portail de l'église Notre-Dame de Semur; dès lors ces statuettes, sculptées
dans l'atelier et adaptées après coup, n'ont plus cette uniformité de saillie,