« Bretons de Lettres » : différence entre les versions

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Suite jusqu'à p. 80
m « de nne » devient « donne »
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« Je n'ai pas le désir, écrit-il, qu'il soit un
fashionable, mais cependant je serais désobligé que sa mise ne fût pas soignée. Veuille,
mon ami, y de nnerdonner la main, sans permettre
l'excès contraire, qui jusqu'ici n'a jamais été
 
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mais il prenait prétexte de son inquiétude
pour prier l'oncle de Charles de bien lui recommander de de nnerdonner régulièrement de ses
nouvelles. « Une négligence de sa part à nous
écrire ferait bien souffrir sa pauvre mère et
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enfant pour me demander comment j'ai pu
lui en inculquer de pareilles. Eh morbleu ! je
ne les lui ai pas plus de nnéesdonnées de cette espèce
que les professeurs de l'École Polytechnique
et de tous les Collèges Royaux de France n'en
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« J'ai vu avec bien de la peine, écrivait-il
le 30 octobre 1838, que Charles t'avait de nnédonné
quelques sujets de mécontentement. Je ne
saurais m'expliquer les motifs qui ont pu le
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:De la plus piquante satire.
 
Et voici la description qu'en de nnedonne Cantenac :
 
:Ce lieu, sale en toutes saisons,
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« Je trouve que Rennes n'est pas cher, la
table d'hôte à ''La Grande Maison'' est fort bonne.
On y de nnedonne deux services avec abondance de
plats et un ample dessert. Au souper, un service avec un gros gigot de mouton et un autre
bon dessert. Chaque repas avec le vin ordinaire coûte quarante sols et pour vingt sols
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c'est-à-dire ''Robert Macaire'' et ''L'Auberge des Adrets''.
Le préfet refusait l'autorisation. « Le dévelop-
pement de nnédonné plus lard à ce caractère (celui
de ''Robert Macaire'') et la lâcheuse célébrité qu'il