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— Je suis prêt à m’entendre avec vous sur tous les points, bien que je me figure que vous inventiez une nouvelle loi ethnique. Mais pourquoi avez-vous cru que je voulais railler quand j’ai insinué que sans doute l’écrivain ne |
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— Je suis pretfa ufentendre ayeowvoua sur tous les |
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(points, bien que je nie figure que vous inventiez une |
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ma part, car je puis dire que j’ai été comblé de bienfaits par la femme russe. J’ai été moi-même le fiancé d’une de mes compatriotes. Cette demoiselle était d’un monde pour ainsi dire supérieur au mien. Elle était fort recherchée par les épouseurs. Elle pouvait choisir et elle… |
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nouvelle loi ethnique. Mais pourquoi avez-vous cru que. |
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’je voulais railler quand j’ai insinué que sans douto-l’écrivain.ne |
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des lemmes russes ’ ? il ne peut y avoir la aucune malignitégio |
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d’une de mes compatriotes. Cette demoiselle était d’un |
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monde pour ainsi dire supérieur au mien. Elle était fort |
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recherchée par les épouseurs. Elle pouvait choisir et, |
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elle.... ’ ’ |
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— Elle vous, a préféré… |
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— Pas du tout ! Elle |
— Pas du tout ! Elle m’a refusé. Et voilà l’affaire. |
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Franchement, j’étais plus heureux avant de me fiancer avec elle. Je la voyais tous les jours et je crois que je ne lui faisais pas trop mauvaise impression. Un beau jour nous échangeâmes nos paroles, je ne sais comment, à propos de rien. Cela demeura entre nous ; il n’y eut rien d’officiel. Mais quand je pus me reprendre un peu, l’idée que je serais bientôt « la moitié d’une créature aussi brillante » |
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Franchement, j’étais plus heureux avant de me Iiancer. |
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m’accabla comme un poids. Comment, me disais-je, moi, le plus nul, le plus commun de ses adorateurs, j’allais devenir le maître d’un pareil trésor ; je n’étais guère |
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avec elle. Je la voyais tous les jours et je crois que je ne |
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lui faisais pas trop mauvaise impression. Un beau jour |
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nous échangeâmes nos paroles, je ne sais comment, a |
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propos de rien. Cela demeura entre nous ; il n*y eut rien |
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’d’oiticîel. Mais quand je pus me reprendre un peu, l’idée |
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toilettes de gaze, en innocence, en opinions, en sentiments ? Et je puis imaginé que toutes ces merveilles vont entrer dans mon appartement inélégant, un appartement où je me promène en robe de chambre ! Vous riez, mais c’est une pensée affreuse que celle que j’exprime ! Ah ! il y a des gens tranchants qui me diront : alors prenez une Cendrillon. Mais non ! je ne veux pas m’abaisser ! — Bref quand, plein de désespoir, je m’allongeai sur mon divan (un canapé exécrable aux ressorts cassés) — il me vint l’idée la plus frivole du monde : Quoi ! songeai-je, voilà que je vais me marier et je ne |
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que ie serais bientôt « la moitié d’une créature aussi brillante) |
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devenir le maître d’un pareil trésor ; je n’étais guère |
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que je trouve qu’il faut avoir une rude couche d e vanité |
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