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Mais, |
Mais, grâce à ces eaux, je participe aux bonheurs d’une |
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élite ! Après cela, avec quelle joie nous irons boire notre |
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affreux café allemand ! Voila ce que j’appelle les avantages |
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positifs de la bonne société. |
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Vous riez. Mais |
— Vous riez. Mais ce n’est pas neuf, tout cela. |
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depuis que vous prenez les eaux. · ’ |
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ne sait pas au juste ce qui fait le plus d’ellet, les Q |
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quoi donnerla palme. La- médecine a lait un pas immense, ? |
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— Et celle du bon ton, Monsieur, incontestablement. On ne sait pas au juste ce qui fait le plus d’effet, les eaux ou le bon ton. Les docteurs eux-mêmes hésitent à quoi donner la palme. La médecine a fait un pas immense, ces temps-ci : aujourd’hui elle donne jusqu’à des idées ; autrefois elle ne nous offrait que des drogues. |
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Naturellement, je ne vais pas reproduire toutes mes |
Naturellement, je ne vais pas reproduire toutes mes |
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conversations avec cet homme paradoxal. Mais nous eûmes un jour un entretien sur les femmes, que je veux rapporter. Il me fit observer que je regardais les femmes de trop près. |
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rapporter. Il me fit observer que je regardais les femmes |
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— Ce sont les Anglaises que je regarde de si près, et avec intention. Figurez-vous que j’ai emporté de Russie deux brochures pour la route : l’une ; c’est la ''Question |
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avec intention, Figurezwous que j’ai emporté de Russie ’ |
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Une phrase, pourtant, m’a plongé dans l’étonnement. L’auteur écrit sans dire gare : |
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