« Sur la mort d’une jeune demoiselle » : différence entre les versions

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{{TitrePoeme|« Heures de loisir »|George Gordon Byron|Sur la mort d’une jeune demoiselle, cousine de l’auteur, et qui lui fut bien chère}}
[[Catégorie:XIXe siècle]]
 
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==__MATCH__:[[Page:Byron - Œuvres complètes, trad. Laroche, I.djvu/20]]==
 
Les vents retiennent leur haleine ; le soir est calme et sombre ; aucun zéphyr n’erre dans le bocage ; et moi, je vais revoir la tombe de ma Marguerite, et répandre des fleurs sur la cendre que j’aime.
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Et pourtant il est doux le souvenir de ses vertus ; elle est fraîche et vivante la mémoire de sa beauté. Mes pleurs n’ont point cessé de couler pour elle ; et son image a gardé dans mon cœur sa place accoutumée.
 
 
 
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