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{{journal|La musique des femmes - Mlle Louise Bertin|[[catégorie:Textes anonymes|*]]|[[Revue des Deux Mondes]] T.8, 1836}}
La ''Esmeralda'' de Mlle Louise Bertin est le troisième pas dans la carrière
Sitôt après le ''Loup garou'', petite partition
Nous lisions récemment, dans les œuvres que Goëthe a laissées, et
La musique de Mlle Bertin a la prétention
Le chœur des soldats qui boivent, le chant du couvre-feu, et le duo qui suit, nous paraissent trois morceaux conçus dans le système
Comme il faut toujours que la malveillance intervienne, on a prétendu que cet air
Nous passerons sur le ''poème de la Esmeralda'', attendu
Maintenant, avec les qualités réelles que nous nous plaisons à lui reconnaître, et les éclairs dramatiques qui traversent ses partitions, Mlle Bertin est-elle destinée à composer pour le théâtre ? Franchement, nous ne le croyons pas. Il y a dans le talent des femmes une corde suave et douce qui en fait presque tout le charme, et dont la vibration se perd dans les vastes salles. Cette mélodie,
La musique des femmes
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