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tout délié (ou subtil) », d’où nous tirons sans peine : « Celui dont le souffle est un signe de vie, l’homme, prendra place (sans doute après que le souffle sera exhalé) dans le feu divin, source et foyer de la vie, et cette place lui sera mesurée sur la vertu qui lui a été donnée (par les démons, j’imagine) d’étendre ce souffle chaud, cette petite âme invisible, à travers l’espace libre (le bleu du ciel, probablement).

Et remarquez que cela vous a l’air d’un fragment d’hymne védique, que cela sent la vieille mythologie orientale. Je ne réponds pas d’avoir rétabli ce mythe primitif dans toute la rigueur des lois qui régissent le langage. Peu importe. Il suffit qu’on voie que nous avons trouvé des