« Scientia, poème » : différence entre les versions

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{{journal|Scientia, poème|[[L’auteur de Marie ]]|[[Revue des Deux Mondes]]T.4, 1833}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 4.djvu/684]]==
 
SCIENTIA, POÈME.
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Où, jeune et haletant sous ce ciel de fumée,
Je vins, enfant breton, de ma lande embaumée ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 4.djvu/685]]==
<poem>
Ces lieux où j’arrivai jeune et rempli d’effroi,
J’y revenais chercher ce qu’ils gardaient de moi.
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Dans la loge, parmi ces gens gais et dispos,
Ce furent entre nous-bien des joyeux propos ;
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 4.djvu/686]]==
<poem>
Pourtant j’étais pensif, car midi sonnait l’heure
Où les jeux animaient jadis notre demeure,
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Seuls firent plus de bruit dans cette triste cour
Que les trente vieillards qui rôdaient à l’entour.
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 4.djvu/687]]==
<poem>
Quelques-uns pour nous voir soulevèrent la tête,
Et par beaucoup d’efforts redressant leur squelette,
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Cependant m’abreuvant à cette amère source
Et d’un pas résolu je reprenais ma course,
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 4.djvu/688]]==
<poem>
Comme un homme nourri de fiel et de dégoût,
Mais ferme et qui s’obstine à vivre jusqu’au bout ;
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O malheureux perclus ! Vieillard sans espérance !
C’était là ton recours dans ta dure souffrance !
</poem>
==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1833 - tome 4.djvu/689]]==
<poem>
Comme le saint martyr, toi, cloué sur tes draps,
Tu voulais voir le Christ qui te tendait les bras !
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L’AUTEUR DE MARIE.
=== no match ===
DE MARIE.