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d’élevé dans l’homme, parlent de vertu quand ils voient de trop près la bassesse de l’homme : ainsi ils appellent « vertu » leur mauvais œil. |
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Les uns veulent être édifiés et redressés et appellent cela de la vertu et les autres veulent être renversés |
Les uns veulent être édifiés et redressés et appellent cela de la vertu et les autres veulent être renversés — et cela aussi ils l’appellent de la vertu. |
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Et ainsi presque tous croient avoir quelque part à la vertu; et tous veulent pour le moins |
Et ainsi presque tous croient avoir quelque part à la vertu ; et tous veulent pour le moins s’y connaître en « bien » et en « mal ». |
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Mais Zarathoustra |
Mais Zarathoustra n’est pas venu pour dire à tous ces menteurs et à ces insensés : « Que savez-vous de la vertu ? Que pourriez-vous savoir de la vertu ? » — |
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Il est venu, mes amis, pour que vous vous fatiguiez des vieilles paroles que vous avez apprises des menteurs et des insensés: |
Il est venu, mes amis, pour que vous vous fatiguiez des vieilles paroles que vous avez apprises des menteurs et des insensés : |
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pour que vous vous fatiguiez des mots |
pour que vous vous fatiguiez des mots « récompense », « représailles’, « punition », « vengeance dans la justice » — |
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pour que vous vous fatiguiez de dire |
pour que vous vous fatiguiez de dire « une action est bonne, parce qu’elle est désintéressée ». |
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Hélas, mes amis! Que votre |
Hélas, mes amis ! Que votre « moi » soit dans l’action, ce que la mère est dans l’enfant : que ceci soit votre parole de vertu ! |
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Vraiment, je vous ai bien arraché cent paroles et les plus chers hochets de votre vertu; et maintenant vous me boudez comme boudent des enfants. |
Vraiment, je vous ai bien arraché cent paroles et les plus chers hochets de votre vertu ; et maintenant vous me boudez comme boudent des enfants. |
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Ils jouaient près de la mer, |
Ils jouaient près de la mer, — et la vague est venue, emportant leurs jouets dans les profondeurs. Les voilà qui se mettent à pleurer. |