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 l’Ibérie est si froid que l’âne n’y peut naître<ref>« {{lang|grc|Ἔτι δὲ ψυχρὸν τὸ ζῷον ὁ ὄνος ἐστίν · διόπερ ἐν τοῖς χειμερινοῖς οὐ θέλει γίγνεσθαι τόποις... οἷον... περὶ Κελτοὺς τοὺς ὑπὲρ τῆς Ἰβηρίας · ψυχρὰ γὰρ καὶ αὕτη ἡ χώρα.}} » (''{{lang|la|De animalium generatione}}'', liv. II, chap. {{sc|viii}}, édit. Didot, t. III, p. 369).</ref>. Si
 nous en croyons Plutarque, Aristote a su que les
+Celtes avaient pris Rome<ref>« {{lang|grc|Ἀριστοτέλης δέ ὁ φιλόσοφος τὸ μὲν ἁλῶναι τὴν πόλιν ὑπὸ Κελτῶν ἀκριβῶς δῆλός ἐστιν ἀκηκοώς}} » (Plutarque, ''Camille'', chap. {{sc|xxii}}, édit. Didot, p. 167).</ref>. Le périple attribué à
-Celtes avaient pris Rome<ref></ref>. Le périple attribué à
 Scylax de Caryanda, monument où nous trouvons
 la géographie politique des années 338 à 335 avant
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 Suivant Pausanias, écrivain du second siècle de notre
 ère, {{lang|grc|Κελτός}} est le nom que les Celtes se donnaient à
-(Plutarque, ''Camille'', chap. {{sc|xxii}}, édit. Didot, p. 167).
 (Didot-Müller, ''{{lang|la|Geographi græci minores}}'', t. I, p. 25).