« Page:Balzac - Une rue de Paris et son habitant, 1845.djvu/7 » : différence entre les versions
m o |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<noinclude><big><big>{{centré|UNE RUE DE PARIS}}</big> |
|||
__NOEDITSECTION__ |
|||
{{centré|ET}} |
|||
<big>{{centré|SON HABITANT}}</big> |
|||
__TOC__ |
|||
{{—}} |
|||
</noinclude>'''{{centré|I}}''' |
|||
===<center>I</center>=== |
|||
{{centré|PHYSIONOMIE DE LA RUE}} |
|||
Ligne 16 : | Ligne 18 : | ||
peu de maisons, ou les maisons ont tant de modestie, qu’on ne les aperçoit point ; l’oubli de la ville s’explique alors par le peu d’importance des propriétés. |
peu de maisons, ou les maisons ont tant de modestie, qu’on ne les aperçoit point ; l’oubli de la ville s’explique alors par le peu d’importance des propriétés. |
||
Un défaut de solidité dans le terrain explique cet état de choses. La rue est située sur un point si dangereux |
Un défaut de solidité dans le terrain explique cet état de choses. La rue est située sur un point si dangereux des Catacombes, que naguère une certaine portion de la |
||
des Catacombes, que naguère une certaine portion de la |