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écrits par des banquiers, des membres du Parlement . ou des clorgymens ortiioiloïes no mauquenS pas non plus; ils montrent que le progrès de la civilisntioa consiste dans la victoire de l'usùco eut le préju^ eCciés^estique ou âane l'extension dea privilège! parlementaires A quelque bourg de Puddleoombe, ou dans l'eiLtinction des iéaébreuses superstiUons de la Papauté en ta glorieuse lumière de la Réforme. Finalement vous avez un résumé d'histoire philosophique qui vous . prouva qu'il n'y a aucune apparence que jamais, en quoi que ce soit, la Providence ait gouverné les affaires humaines; que toutes les actions vertueuses ont des motifs égoïstes; et qu'un égoîsme scientifique avec des commiinicattons télégraphiques appropriées et nne connaissaDce parfaite de toutes les espèces de baclâries, assureront d'une manière complète le futur bien-être des classes supérieures de la société et la résignation repectueuse des classes inférieures.
écrits par des banquiers, des membres du Parlement ou des clergymens orthodoxes ne manquent pas non plus ; ils montrent que le progrès de la civilisation consiste dans la victoire de l’usure sur le préjugé ecclésiastique ou dans l’extension des privilèges parlementaires à quelque bourg de Puddlecombe, ou dans l’extinction des ténébreuses superstitions de la Papauté en la glorieuse lumière de la Réforme. Finalement vous avez un résumé d’histoire philosophique qui vous prouve qu’il n’y a aucune apparence que jamais, en quoi que ce soit, la Providence ait gouverné les affaires humaines ; que toutes les actions vertueuses ont des motifs égoïstes ; et qu’un égoïsme scientifique avec des communications télégraphiques appropriées et une connaissance parfaite de toutes les espèces de bactéries, assureront d’une manière complète le futur bien-être des classes supérieures de la société et la résignation respectueuse des classes inférieures.

Su attendant, les deuxinQuences laissées decAté, la Providence du ciel et la vertu des hommes (>nt gourcrné ,et gouvernent le monde, et non de façon invisible; et elles sont les senies puissances au sujet da qui l'histoire ait jamais à nous apprendre quelqae vérité proliCable. Cachée sous toute douleur, il y a la force de la vertu ; au-dessus da toutes les ruines, la charité réparatrice de Dieu. Ce sontrelles seules qua nous avons à considérer ; en elles seules nous pouvoir comprendre lo passé et prédite l'afenir, la destinée des silcles.
En attendant, les deux influences laissées de côté, la Providence du ciel et la vertu des hommes ont gouverné et gouvernent le monde, et non de façon invisible: et elles sont les seules puissances au sujet de qui l’histoire ait jamais à nous apprendre quelque vérité profitable. Cachée sous toute douleur, il y a la force de la vertu ; au-dessus de toutes les ruines, la charité réparatrice de Dieu. Ce sont-elles seules que nous avons à considérer ; en elles seules nous pouvons comprendre le passé et prédire l’avenir, la destinée des siècles.
SO, Je reviens à l'Iiistoirç de Ctovis, roi maintenant. de toute U France centrale, Fixes l'année 60D dans vos esprits comme la date approsîmativo de son baptême k lleims et du e«rmoa que lui fait saint Rémi '

20. Je reviens à l’histoire de Clovis, roi maintenant de toute la France centrale. Fixez l’année 500 dans vos esprits comme la date approximative de son baptême à Reims et du sermon que lui fait saint Rémi