« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Croix » : différence entre les versions

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d'églises, les sommets des clochers sont toujours terminés par une
croix, le plus souvent à branches égales, posée sur une boule, ou bien
sur une colonne *[?issant] d'un ornement. Le dais qui protége la Vierge
assise du tympan de la porte Sainte-Anne à Notre-Dame de Paris (XII<sup>e</sup>
siècle)
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dans les siècles précédents. Ces croix sont simples, habituellement portées
par une colonne courte cylindrique, terminée par une bague formant
chapiteau. Telle est la petite croix de l'église de Saint-Thomas (Charente-Inférieure) (7). Le profil rampant recouvrant le pignon ressaute pour lui
*[?(7)]. Le profil rampant recouvrant le pignon ressaute pour lui
faire un pied et donner de l'empatement à sa base.
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à la fin du XI<sup>e</sup> siècle.
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[[Image:Croix.cimetierre.Mezy.png|center]]
 
[[Image:Croix.eglise.Rougemont.png|center]]
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et, à ce point de vue, elles doivent être étudiées avec soin. Parmi
ces imitations grossières, nous pouvons citer la croix de Belpech (Aude)
[(21]). La croix, découpée et fleuronnée, porte, d'un côté, le Christ ayant à
sa droite la Vierge et saint-Jean à sa gauche. Au bas de la croix, deux
petites figures reçoivent le sang du Sauveur dans un calice. Deux têtes,