« Poème sur la Loi naturelle/Exorde » : différence entre les versions

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{{PoèmeNav|[[Auteur:Voltaire|Voltaire]]|''[[Poème sur la Loi naturelle]]''|Exorde||[[Poème sur la Loi naturelle/Première partie|Première partie]]}}
 
 
==__MATCH__:[[Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/451]]==
<poem>
O vous dont les exploits, le règne, et les ouvrages <ref>Nous savons que ce poème, qu’on regarde comme l’un des meilleurs ouvrages de notre auteur, fut fait vers l’an 1751, chez Mme la margrave de Bareith, sœur du roi de Prusse. Je ne sais quels pédants eurent depuis l’atrocité imbécile de le condamner.
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Mais Pope approfondit ce qu’ils ont effleuré
D’un esprit plus hardi, d’un pas plus assuré,
Il
Il porta le flambeau dans l’abîme de l’être ;
</poem>
==[[Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome9.djvu/452]]==
<poem>
Il porta le flambeau dans l’abîme de l’être ;
Et l’homme avec lui seul apprit à se connaître.
L’art quelquefois frivole et quelquefois divin,