« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Sculpture » : différence entre les versions

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[[Image:Sculpture.porte.principale.eglise.abbatiale.Vezelay.png|center]]
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L'ensemble de cette œuvre est présentée dans l'article PORTE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porte |Porte ]] (fig. 11).
On remarquera, tout d'abord, qu'il y a dans cette composition un
mouvement,
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[[Image:Sculpture.porte.de.la.Vierge.Notre.Dame.Paris.2.png|center]]
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Nous avons décrit à l'article PORTE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Porte |Porte ]] cette statuaire, la plus remarquable
du portail de Notre-Dame de Paris. Ce n'est pas seulement par l'expression
noble des têtes qu'elle se recommande; au point de vue de la
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de recherche dans les détails. Les artistes occidentaux, à dater des premières
croisades, s'inspirent évidemment de cet art. Nous avons fait
ressortir à l'article PROFIL[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Profil |Profil ]], comment ils copient les moulures, mais ils
ne se bornent pas à cet emprunt: ils prennent aussi des procédés de
structure, des dispositions de détails et cette ornementation sèche et
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futur de la nation française que se développe avec rapidité ce nouvel art
de la sculpture décorative, dont nous avons fait ressortir l'influence à
l'article FLORE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Flore|Flore]], et dont on ne retrouve guère d'exemple aussi complet que
dans l'art de l'antique Égypte.