« Les Œuvres poétiques de M. Bertaut » : différence entre les versions
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Un million de cris et de voix gemissantes
S’éleve la dessus des bouches pallissantes
De ceux qui pensent voir qu’en ce mesme accident
Petit avec le roy le sceptre de la France,
Que pour elle est esteint tout astre d’esperance,
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Je ne regrette point ma premiere franchise,
Puis que ma servitude est ma gloire et mon bien.
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/577]]==
<poem>
Qu’à ce divin esprit de graces revestu ;
Dont le servage apprend à mespriser le vice,
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Es uns la pitié morte, és autres le devoir ?
</poem>
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