« Les Œuvres poétiques de M. Bertaut » : différence entre les versions

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<poem>
STANCES SUR LA FORTUNE
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Ressortir hors des flots, et reprendre sa course
Aussi-tost que son pied commence a les toucher.
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/575]]==
<poem>
Seule dedans les eaux reste comme abysmee
Sa royale Junon, sa moitié plus aymee,
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Qui n’estimeriez pas un heur mais un supplice,
(s’ils y fussent peris) que vous voir preservez.
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/576]]==
<poem>
Vantez-vous que de grace, et non pas par envie,
Le ciel voyant le sort attenter à leur vie,
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Je ne regrette point ma premiere franchise,
Puis que ma servitude est ma gloire et mon bien.
À
À qui dois-je plustost consacrer mon service,
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/577]]==
<poem>
À qui dois-je plustost consacrer mon service,
Qu’à ce divin esprit de graces revestu ;
Dont le servage apprend à mespriser le vice,
Ligne 138 ⟶ 149 :
Mon cœur ne peut changer pour change qui m’arrive,
Le sort n’a point d’empire à l’endroit de ma foy.
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/578]]==
<poem>
Si je vy conservé par l’heur de vostre grace,
Vous m’entendrez chanter vostre juste pitié :
Ligne 170 ⟶ 184 :
Digne de sa lumiere et si saincte et si pure,
Il faudroit un phoenix comme vous un soleil.
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/579]]==
<poem>
 
STANCES
Ligne 202 ⟶ 219 :
Ces nymphes hostesses des bois,
Bravant les amoureuses loix,
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/580]]==
<poem>
Et ce feu dont l’ame est éprise,
Ne le cognoissent nullement,
Ligne 238 ⟶ 258 :
Car pour luy donner le trespas,
Il leur faudroit priver d’appas
</poem>
==[[Page:Bertaut - Les Œuvres poétiques, éd. Chenevière, 1891.djvu/581]]==
<poem>
La beauté sa mere nourrice :
Autrement on ne sçauroit voir,