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LETTRES DE MADAME PAUL MEURICE |
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[1865 ?] |
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⚫ | « Je m’étais impose de ne pas vous inonder de mes réponses, mais… ; il survient toujours un mais, pour triompher d’une résolution difficile, et ce mais avait l’habileté de se présenter à moi avec l’apparence de vous être bon à quelque chose. Le lundi qui a suivi ma première épître, la conversation ci-après avait lieu devant moi, entre mon mari et le représentant de la maison Lacroix |
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⚫ | « Je m’étais impose de ne pas vous inonder de mes réponses, mais… ; il survient toujours un mais, pour triompher d’une résolution difficile, et ce mais avait l’habileté de se présenter à moi avec l’apparence de vous être bon à quelque chose. Le lundi qui a suivi ma première épître, la conversation ci-après avait lieu devant moi, entre mon mari et le représentant de la maison Lacroix Verboecke…(2) vous parlez de mots impossibles, en voilà un qui me trouble, rien qu’à le lire ; |
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⚫ | Dans les premiers temps que Baudelaire fréquentait dans le salon de l’avenue Frochot, ses rapports avec |
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⚫ | Dans les premiers temps que Baudelaire fréquentait dans le salon de l’avenue Frochot, ses rapports avec {{Mme}} Meurice n’avaient été rien moins que sympathiques. « {{Mme}} Meurice rencontra une fois Baudelaire, qui avait un crêpe à son chapeau, — me contait l’autre soir M. Troubat, — et lui dit : « Est-ce bien sincère, ce crêpe ? N’est-ce pas un simulacre de deuil ? Avez-vous réellement perdu un de vos parents ? » |
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