« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Gargouille » : différence entre les versions

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premiers siècles du moyen âge, l'eau des toits ou des terrasses s'égouttait
directement sur la voie publique au moyen de la saillie donnée aux
corniches (voy. CHÉNEAU[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 3, Chéneau|Chéneau]]). À la cathédrale de Paris, du temps de Maurice
de Sully; c'est-à-dire lors de l'achèvement du chœur
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de la même époque, sont déjà plus longues, plus sveltes, et soulagées par
des corbeaux qui ont permis de leur donner une très-grande saillie en
avant du *[?nû]nu des contre-forts (3).
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[[Image:Illustration_fig3_6_31.png|center|500px]]
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[[Image:Illustration_fig4_6_31.png|center|500px]]
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Nous avons indiqué, à l'article GÂBLE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 6, Gâble |Gâble]], comment les constructeurs
gothiques, lorsqu'ils élevaient les grandes voûtes des nefs, ménageaient,
provisoirement, des cuvettes dans les reins de ces voûtes, avec gargouilles
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aujourd'hui de ce genre d'une époque antérieure au XVI<sup>e</sup> siècle. En voici
une (11) qui se voit à l'angle d'une maison de Vitré; elle date du XV<sup>e</sup> siècle
et est faite en plomb repoussé {voy. PLOMBERIE[[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 7, Plomberie |Plomberie ]]). Nous ne connaissons pas
de gargouilles du moyen âge en terre cuite. Dans les édifices en brique,
les gargouilles sont en pierre, ainsi qu'on peut le voir aux Jacobins de