« Sagesse (1902)/« Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares ? » » : différence entre les versions
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{{TitrePoeme|[[Sagesse]]|Paul Verlaine|''Qu’en dis-tu, voyageur…''}}
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Et dis l’Amour et dis encor la Politique
Avec du sang déshonoré d’encre à leurs mains.
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==[[Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, I.djvu/212]]==
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Et puis surtout ne va pas t’oublier toi-même
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Si le même dans cette extrême décadence !
Enfin ! — Mais à ta place un être avec du sens,
Payant les
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==[[Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, I.djvu/213]]==
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violons voudrait mener la danse,
Au risque d’alarmer quelque peu les passants.
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Des autres et de moi, de la route suivie,
Je n’ai rien retenu que la grâce de Dieu.
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==[[Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, I.djvu/214]]==
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Si je me sens puni, c’est que je le dois être.
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