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elle s’assit sur le banc moussu et vert-de-grisé, du côté le moins mouillé, tandis que debout, appuyé du genou à ce même banc, je me penchais vers elle pour l’entendre. |
{{tiret2|Sablon|nières}}, elle s’assit sur le banc moussu et vert-de-grisé, du côté le moins mouillé, tandis que debout, appuyé du genou à ce même banc, je me penchais vers elle pour l’entendre. |
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Elle me gronda d’abord amicalement pour avoir ainsi écourté mes vacances : |
Elle me gronda d’abord amicalement pour avoir ainsi écourté mes vacances : |
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— Ne parlez pas ainsi, dit-elle doucement, François Seurel, mon ami. Il n’y a que nous — il n’y a que moi de coupable. Songez à ce que nous avons fait... |
— Ne parlez pas ainsi, dit-elle doucement, François Seurel, mon ami. Il n’y a que nous — il n’y a que moi de coupable. Songez à ce que nous avons fait... |
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» Nous lui avons dit : « Voici le bonheur, voici ce que tu as cherché pendant toute ta jeunesse, voici |
» Nous lui avons dit : « Voici le bonheur, voici ce que tu as cherché pendant toute ta jeunesse, voici la jeune fille qui était à la fin de tous tes rêves ! |
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» Comment celui que nous poussions ainsi par les épaules n’aurait-il pas été saisi d’hésitation, puis de crainte, puis d’épouvante, et n’aurait-il pas cédé à la tentation de s’enfuir ! |
» Comment celui que nous poussions ainsi par les épaules n’aurait-il pas été saisi d’hésitation, puis de crainte, puis d’épouvante, et n’aurait-il pas cédé à la tentation de s’enfuir ! |