« Albertus » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
ThomasV (discussion | contributions)
mAucun résumé des modifications
ThomasBot (discussion | contributions)
m ThomasV: match
Ligne 14 :
 
 
 
==__MATCH__:[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/155]]==
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/155]]==
 
 
Ligne 34 ⟶ 35 :
      Avec le clou pour l’accrocher.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/156]]==
<poem>
 
 
Ligne 64 ⟶ 68 :
Les femmes au teint brun, les molles sérénades,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et tout l’azur vénitien !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/157]]==
<poem>
 
Ligne 95 ⟶ 102 :
Se trouvait là, riant d’un rire sardonique,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et grommelant des mots railleurs !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/158]]==
<poem>
 
Ligne 126 ⟶ 136 :
Une vitre sur trois qui ne soit pas brisée,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et la porte ne ferme plus.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/159]]==
<poem>
 
Ligne 161 ⟶ 174 :
 
X
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/160]]==
<poem>
Véritable sabbat de couleurs et de formes,
Où la cruche hydropique, avec ses flancs énormes,
Ligne 188 ⟶ 204 :
C’est le type vivant des songes drôlatiques ;
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;C’est Hoffmann, et c’est Rabelais !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/161]]==
<poem>
 
Ligne 219 ⟶ 238 :
À notre Véronique, — il n’a fait que la prendre
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et déguiser le vêtement.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/162]]==
<poem>
 
Ligne 250 ⟶ 272 :
Que depuis ce temps-là j’ai pris la vie en haine,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Était aussi l’un de ses hoirs.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/163]]==
<poem>
 
Ligne 281 ⟶ 306 :
Danse en accompagnant de son bruit la bouilloire
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et le matou qui fait ron ron.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/164]]==
<poem>
 
Ligne 312 ⟶ 340 :
— Une chose sans nom, — impossible à décrire,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Un idéal de cauchemar !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/165]]==
<poem>
 
Ligne 343 ⟶ 374 :
Si charmante, ce corps, cette taille parfaite,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;À quels moyens elle les doit.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/166]]==
<poem>
 
Ligne 374 ⟶ 408 :
Où la félicité sur le néant se fonde,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et le malheur sur le réel.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/167]]==
<poem>
 
Ligne 405 ⟶ 442 :
Sa dague de Tolède au pommeau qui chatoie,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Vraiment il était fait au tour !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/168]]==
<poem>
 
Ligne 436 ⟶ 476 :
À travers champs, toujours tout droit, et si peu lourde
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Qu’elle ne couchait pas les blés !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/169]]==
<poem>
 
Ligne 467 ⟶ 510 :
Entretien de la ville était sur Véronique :
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Jamais nom ne fut plus prôné !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/170]]==
<poem>
 
Ligne 498 ⟶ 544 :
— À peine voyait-on dans leur salon gothique
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Un laid ''Sigisbeo'' caduc.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/171]]==
<poem>
 
Ligne 529 ⟶ 578 :
— Une invisible main soutenait ses dentelles
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et se jouait dans leurs réseaux.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/172]]==
<poem>
 
Ligne 560 ⟶ 612 :
Accueillait tout le monde et recevait l’hommage
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et les rixdales de chacun.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/173]]==
<poem>
 
Ligne 591 ⟶ 646 :
De leurs réseaux voilant ou découvrant les marbres
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Debout sous leur ombrage obscur.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/174]]==
<poem>
 
Ligne 626 ⟶ 684 :
 
XI
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/175]]==
<poem>
Pourquoi donc ces sourcils qui tremblent et se plissent ?
Ces longs cils noirs baissés où quelques larmes glissent,
Ligne 653 ⟶ 714 :
Le plaisir l’étourdit, et l’empêche d’entendre
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La voix de son cœur comprimé.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/176]]==
<poem>
 
Ligne 684 ⟶ 748 :
Véronique sourit ; — le bonheur d’être belle
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;La fait dix fois plus belle encor.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/177]]==
<poem>
 
Ligne 715 ⟶ 782 :
Par la tuile qui tombe, ou mourir de la fièvre
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;En revenant dans sa maison.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/178]]==
<poem>
 
Ligne 746 ⟶ 816 :
Commencé dans le ciel, que sur terre on prolonge,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Mystérieux enchantement !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/179]]==
<poem>
 
Ligne 781 ⟶ 854 :
 
L
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/180]]==
<poem>
Moi, ce fut l’an passé que cette frénésie
Me vint d’être amoureux. — Adieu, la poésie !
Ligne 812 ⟶ 888 :
 
LII
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/181]]==
<poem>
Mai dans le gazon vert faisait rougir la fraise :
— Dès qu’elle en trouvait une, heureuse et sautant d’aise,
Ligne 839 ⟶ 918 :
Surprises dans le nid, qui font un grand bruit d’ailes
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Entre les doigts de l’oiseleur.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/182]]==
<poem>
 
Ligne 870 ⟶ 952 :
Nous avions oublié l’existence du monde,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Nos yeux étaient notre horizon.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/183]]==
<poem>
 
Ligne 901 ⟶ 986 :
S’est brisée, et je n’aime à présent que ma mère ;
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Tout autre amour en moi s’est tu.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/184]]==
<poem>
 
Ligne 932 ⟶ 1 020 :
Aurait palpé six mois, et qu’il eût pris pour base
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;D’une douzaine de traités.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/185]]==
<poem>
 
Ligne 963 ⟶ 1 054 :
Devant cet œil méduse à vous changer en pierre,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Qu’il s’efforçait de rendre doux.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/186]]==
<poem>
 
Ligne 994 ⟶ 1 088 :
Elle essaya de tout ; — mais lui, toujours le même,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;N’en prit aucunement souci.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/187]]==
<poem>
 
Ligne 1 029 ⟶ 1 126 :
 
LXVI
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/188]]==
<poem>
Tout à coup, relevant comme un oiseau sa tête
Et poussant en arrière une boucle défaite,
Ligne 1 060 ⟶ 1 160 :
 
LXVIII
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/189]]==
<poem>
Albertus, je n’ai pas besoin de vous le dire,
Est le fin ''cortejo'' que je viens de décrire
Ligne 1 087 ⟶ 1 190 :
Il n’y pouvait plus croire ; aussi dans ses journées,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Sonnaient bien des heures d’ennui.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/190]]==
<poem>
 
Ligne 1 118 ⟶ 1 224 :
— À vingt ans l’on pouvait le clouer dans sa bière,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Cadavre sans illusions.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/191]]==
<poem>
 
Ligne 1 149 ⟶ 1 258 :
Je vous dirai, dussé-je encourir votre blâme,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Qu’il n’y croyait pas plus qu’en Dieu.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/192]]==
<poem>
 
Ligne 1 180 ⟶ 1 292 :
Se dresse un mannequin qu’on croirait un fantôme ;
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Tout est clair-obscur et reflet.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/193]]==
<poem>
 
Ligne 1 215 ⟶ 1 330 :
 
LXXVIII
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/194]]==
<poem>
Autour du mur beaucoup de toiles accrochées,
Blanches pour la plupart, les autres ébauchées,
Ligne 1 242 ⟶ 1 360 :
Ébaucha ce portrait qu’il finit de mémoire,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et puis jamais n’en reparla.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/195]]==
<poem>
 
Ligne 1 273 ⟶ 1 394 :
Des pins échevelés, penchés sur les abîmes
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Comme sur le puits des enfers.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/196]]==
<poem>
 
Ligne 1 304 ⟶ 1 428 :
Et dit : « ''Che vuoi, signor ?'' — Vite que l’on m’apporte
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Ma cape avec mon sombrero. »
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/197]]==
<poem>
 
Ligne 1 335 ⟶ 1 462 :
Un écolier qui va subir sa pénitence,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Ne marchent pas d’un pied plus lent.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/198]]==
<poem>
 
Ligne 1 366 ⟶ 1 496 :
Poussent entre leurs dents une plainte inquiète,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et puis retombent assoupis.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/199]]==
<poem>
 
Ligne 1 401 ⟶ 1 534 :
 
XC
Albertus un instant crut voir sa vénitienne
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/200]]==
<poem>
instant crut voir sa vénitienne
— La coiffure bizarre ornée à l’italienne
De grosses boules d’or et de sequins percés,
Ligne 1 428 ⟶ 1 565 :
Jaunissait de vieillesse, un vin mis en bouteille
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Au moins depuis un siècle-ou deux !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/201]]==
<poem>
 
Ligne 1 459 ⟶ 1 599 :
Me ferait renoncer. — L’éternité vaut-elle
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Une minute de tes jours !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/202]]==
<poem>
 
Ligne 1 490 ⟶ 1 633 :
À de pareils éclairs, mourrait et fondrait comme
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Fond le bitume au feu jeté.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/203]]==
<poem>
 
Ligne 1 521 ⟶ 1 667 :
Et dans un roman chaste il est l’hiéroglyphe
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;De ce qui ne l’est guère ou point.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/204]]==
<poem>
 
Ligne 1 556 ⟶ 1 705 :
 
C
— Le peintre avait coupé le corset. — Véronique
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/205]]==
<poem>
Le peintre avait coupé le corset. — Véronique
N’avait sur son beau corps pour vêtement unique
Qu’une toile de Flandre ; — un nuage de lin
Ligne 1 587 ⟶ 1 740 :
 
CII
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/206]]==
<poem>
Oh ! Le tableau charmant ! — Toute honteuse, et rouge
Comme une fraise en mai, sur sa gorge qui bouge,
Ligne 1 614 ⟶ 1 770 :
L’œil s’allume, les dents s’entre-choquent et mordent,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Les seins bondissent convulsifs.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/207]]==
<poem>
 
Ligne 1 645 ⟶ 1 804 :
Ses os faisaient le gril sous ses mamelles sèches,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Et ses côtes trouaient ses flancs.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/208]]==
<poem>
 
Ligne 1 676 ⟶ 1 838 :
Sur la dalle, où s’allume une lumière bleue,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Traçait un cercle rayonnant.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/209]]==
<poem>
 
Ligne 1 711 ⟶ 1 876 :
 
CX
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/210]]==
<poem>
Chauves-souris, hiboux, chouettes, vautours chauves,
Grands-ducs, oiseaux de nuit aux yeux flambants et fauves,
Ligne 1 738 ⟶ 1 906 :
Noirs et faisant râler leurs soufflets asthmatiques
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Aucun ne manque au rendez-vous.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/211]]==
<poem>
 
Ligne 1 769 ⟶ 1 940 :
Des pieds de bouc, des yeux tout ronds aux regards mornes
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Une horrible apparition !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/212]]==
<poem>
 
Ligne 1 800 ⟶ 1 974 :
N’eussent pas su broder un plus étrange thème
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;De plus brillants pizzicati.
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/213]]==
<poem>
 
Ligne 1 831 ⟶ 2 008 :
Se turent, n’osant pas répéter les blasphèmes
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Qu’ils entendirent cette nuit !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/214]]==
<poem>
 
Ligne 1 866 ⟶ 2 046 :
 
CXX
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/215]]==
<poem>
Le diable éternua. — Pour un nez fashionable
L’odeur de l’assemblée était insoutenable.
Ligne 1 893 ⟶ 2 076 :
Se couchait moite encore, et moi, perdant courage,
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Je me disais toujours : — Demain !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/216]]==
<poem>
 
Ligne 1 916 ⟶ 2 102 :
[[Catégorie:Poèmes]]
[[Catégorie:Théophile Gautier]]
==[[Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/217]]==