« Hernani (Hetzel, 1889) » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/73]]==
 
 
ACTE
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Que l'apparence a tort! Injustes que nous sommes!
 
Certes,
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/74]]==
ils étaient bien là, les deux beaux jeunes hommes!
 
C'est égal. Je devais n'en pas croire mes yeux.
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Car ses cheveux sont noirs ; car son oeil reluit comme
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/75]]==
Le tien. Tu peux le voir et dire : ce jeune homme!
 
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DON RUY GOMEZ.
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/76]]==
Et puis, vois-tu? Le monde trouve beau,
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/77]]==
Que veut laquez?
 
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On peut se réjouir maintenant, chère belle!
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/78]]==
Allez donc vous parer, mon amour, mon orgueil!
 
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HERNANI,
HERNANI, s'arrêtant sur le seuil de la porte.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/79]]==
HERNANI, s'arrêtant sur le seuil de la porte.
 
Monseigneur,
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DON RUY GOMEZ.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/80]]==
GOMEZ.
 
Le chef, le Hernani,
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/81]]==
DON RUY GOMEZ.
 
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DON RUY GOMEZ.
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/82]]==
Voici ma notre-dame, à moi! L'avoir priée
 
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Prenez : liez mes mains, liez mes pieds, liez!
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/83]]==
Mais, non : c'est inutile ; une chaîne me lie
 
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DOÑ
DOÑA SOL, d'une voix éteinte, à son oreille.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/84]]==
DOÑAA SOL, d'une voix éteinte, à son oreille.
 
Oh! Tais-toi.
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Pour ta vie, au lieu d'or, offrît-on un empire,
 
Mon
Mon hôte! Je te dois protéger en ce lieu,
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/85]]==
Mon hôte! Je te dois protéger en ce lieu,
 
Même contre le roi, car je te tiens de Dieu!
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/86]]==
SCENE 5
 
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Rien n'y manque! Colliers, brillants, pendants d'oreille,
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/87]]==
Couronne de duchesse, anneau d'or... — à merveille!
 
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Croire que mon amour eût si peu de mémoire!
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/88]]==
Que jamais ils pourraient, tous ces hommes sans gloire,
 
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Jamais à nos amours le ciel n'a consenti.
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/89]]==
Si j'ai dit que c'était ton destin, j'ai menti!
 
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Où vais-je? je ne sais. Mais je me sens poussé
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/90]]==
D'un souffle impétueux, d'un destin insensé.
 
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DOÑ
DOÑA SOL, pleurant et tombant dans un fauteuil.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/91]]==
DOÑAA SOL, pleurant et tombant dans un fauteuil.
 
Voilà tout.
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/92]]==
SCENE 6
 
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Qui n'eût craint le tonnerre en trahissant son hôte!
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/93]]==
Ce n'est pas de mon temps! — Si noire trahison
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/94]]==
HERNANI.
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/95]]==
A Hernani.
 
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Doña Sol baisse précipitamment son voile. La porte s'ouvre à deux battants. Entre don Carlos en habit de guerre, suivi d'une foule de gentilshommes également armés, de pertuisaniers, d'arquebusiers, d'arbalétriers ; il
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/96]]==
s'avance à pas lents, la main gauche sur le pommeau de son épée, la droite dans sa poitrine, et fixe sur le vieux duc un oeil de défiance et de colère. Le duc va au-devant du roi et le salue profondément. Silence, attente et terreur à l'entour. Enfin le roi, arrivé en face du duc, lève brusquement la tête.
 
 
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DON RUY GOMEZ, se redressant.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/97]]==
se redressant.
 
Altesse, les Silva sont loyaux...
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DON RUY GOMEZ, à un autre portrait.
 
Écoutez-moi : voici Ruy Gomez De Silva,
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/98]]==
Ruy Gomez De Silva,
 
Grand-maître de Saint-Jacque et de Calatrava.
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Manrique nous envie et Lara nous jalouse.
 
Alencastre nous hait. Nous touchons à la fois
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/99]]==
nous hait. Nous touchons à la fois
 
Du pied à tous les ducs, du front à tous les rois!
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Don Ruy Gomez
Don Ruy Gomez s'incline devant le roi, lui prend la main et le mène devant le dernier portrait, derrière lequel est caché Hernani. Doña Sol le suit des yeux avec anxiété.
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/100]]==
Don Ruy Gomez s'incline devant le roi, lui prend la main et le mène devant le dernier portrait, derrière lequel est caché Hernani. Doña Sol le suit des yeux avec anxiété.
 
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/101]]==
Je donne celle-ci. Prenez-la.
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/102]]==
DON CARLOS.
 
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Ton scrupule, après tout, peut sembler légitime.
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/103]]==
Sois fidèle à ton hôte, infidèle à ton roi ;
 
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DON CARLOS va à elle, et lui présente la main.
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/104]]==
Qu'emportez-vous là?
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/105]]==
DON CARLOS.
 
Ligne 5 730 ⟶ 5 796 :
 
 
 
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/106]]==
DON RUY GOMEZ.
 
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Tu veux?
 
Ne t'en prends
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/107]]==
qu'à toi seul! — c'est bon! Fais ta prière.
 
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/108]]==
DON RUY GOMEZ montrant la porte masquée.
 
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==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/109]]==
DON RUY GOMEZ.
 
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Vous tous, soyez témoins.
 
== ACTE 4 ==
==[[Page:Hugo Hernani 1889.djvu/110]]==
ACTE
== reste ==
4 ==