« La Débâcle/Partie 3/Chapitre II » : différence entre les versions

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Au retour de ses longues stations inutiles devant
le hangar, Jean, malgré son calme habituel,
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regardant de toutes parts, avec une inquiétude
effarée, si personne ne les voyait.
— Ah ! Zut ! Cria
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Chouteau, c’est le moment !
 
— Ah ! Zut ! Cria Chouteau, c’est le moment !
La campagne restait claire, d’une clarté louche
d’entre chien et loup. Et Lapoulle courut le
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haleine, comme poursuivis.
Tout d’un coup, Loubet arrêta les autres.
— C’
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est bête, faudrait savoir où nous allons faire
 
est— C’est bête, faudrait savoir où nous allons faire
cuire ça.
Jean, qui se calmait, proposa les carrières. Elles
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Il leur demanda s’ils n’avaient pas de commissions à
lui donner, il se chargea obligeamment de lettres
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suivre… nous verrons s’il ose s’emplir tout seul,
quand de pauvres bougres crèvent à côté de lui.
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oui, oui ! C’est ça, nous le suivrons ! Répéta
 
oui— Oui, oui ! C’est ça, nous le suivrons ! Répéta
violemment Lapoulle. Nous verrons bien !
Il serrait les poings, le seul espoir de manger
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Et il se mit à lui expliquer des plans
extravagants d’évasion. Ils allaient traverser la
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Mais, dehors, par la belle matinée déjà chaude,
lorsque tous deux eurent suivi la berge et se