« La Débâcle/Partie 2/Chapitre V » : différence entre les versions
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En effet, il sentait moins, à ses tempes et à ses
côtes, le douloureux serrement, cette ceinture de la
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Des hommes déjà retournaient en arrière, lorsque le
colonel se précipita.
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mes enfants, vous ne me ferez pas cette▼
▲— Voyons, mes enfants, vous ne me ferez pas cette
peine, vous n’allez pas vous conduire comme des
lâches… souvenez-vous ! Jamais le 106{{e}} n’a
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<br />
Des hommes de la compagnie, en voyant tomber leur
capitaine, se soulevèrent ; et, comme il appelait
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<br />
Il venait d’apercevoir la botte gauche de son chef
couverte de sang. Le talon avait dû être arraché,
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Cette peine semblait augmenter encore la douleur
grandissante qui lui tordait l’estomac. La bête, en
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<br />
Les trompettes sonnaient, la masse s’ébranla,
d’abord au trot. Prosper se trouvait au premier
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Enfin, ce ne fut que le quatrième escadron, à la
quatrième reprise, qui tomba dans les lignes
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se rejoindre, fermant la boucle.
Jean, tout d’un coup, fut renversé.
==[[Page:Zola - La Débâcle.djvu/323]]==
<br />
ai mon affaire, bégaya-t-il.▼
Il avait reçu, sur le sommet de la tête, comme un
fort coup de marteau, et son képi, déchiré,
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rouges d’un épais flot de sang. Et la sensation fut
si forte, qu’il s’évanouit.
replier. Une compagnie prussienne n’était plus qu’à
deux ou trois cents mètres. On allait être pris.
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