« Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas » : différence entre les versions
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{{TextQuality|100%}}[[Catégorie:Économie]][[Catégorie:1850]][[Catégorie:Philosophie]][[Catégorie:XIXe siècle]][[en:That Which Is Seen, and That Which Is Not Seen]]
{{index|Œuvres complètes de Frédéric Bastiat, Guillaumin, 5.djvu}}
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{{Titre
|Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas<ref>Ce pamphlet, publié en juillet 1850, est le dernier que Bastiat ait écrit. Depuis plus d’un an, il était promis au public. Voici comment son apparition fut retardée. L’auteur en perdit le manuscrit lorsqu’il transporta son domicile de la rue de Choiseul à la rue d’Alger. Après de longues et inutiles recherches, il se décida à recommencer entièrement son œuvre, et choisit pour base principale de ses démonstrations des discours récemment prononcés à l’Assemblée nationale. Cette tâche finie, il se reprocha d’avoir été trop sérieux, jeta au feu le second manuscrit et écrivit celui que nous réimprimons. {{FlotteADroite|(''Note de l’éditeur.'')}}</ref>
|[[Auteur:Frédéric Bastiat|Frédéric Bastiat]]
|Voir aussi [[Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas/Texte complet|
*[[Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas/Introduction|Introduction]]
Ligne 21 :
*[[Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas/Chapitre 11|XI. Épargne et Luxe]]
*[[Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas/Chapitre 12|XII. Droit au travail, droit au profit]]
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{{références}}
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